27 juillet 2007
L'impermanence et la colère (II)
"Car un rapport humain à l’état pur ne peut pas être permanent et l’on finit par se dire que ce ne serait même pas souhaitable. […] On finit par accepter le fait qu’il n’y a pas de retour permanent à une relation humaine passée et même qu’il est vain de vouloir maintenir une relation humaine dans une forme unique. Ce n’est pas une tragédie, cela est lié à l’essence même de la vie, qui est croissance et métamorphose."
(Solitude devant la mer – Anne Lindberg)
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